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 « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley

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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 21:48


Oakley Declan Clayton

« Ne fais pas attention à son visage d'ange, il lutte avec le diable au cœur. »

VINGT-SEPT ANS ✿ AMERICAIN ✿ EN COUPLE ✿ MILITAIRE ✿ HETEROSEXUEL
© LadyVengeance6661

Questionnaire
EST-CE QUE TU AS DÉJÀ RENCONTRÉ UN ZOMBIE ? ✿ Rôh, punaise. Bien sûr que j'en ai jamais vu. On dirait que c'est devenu un effet de mode de voir des zombies... Non, moi j'étais tombé dans un terrier, et aujourd'hui, je débarque tout droit du pays des merveilles ( a )
C'ÉTAIT OÙ LA PREMIÈRE FOIS QUE TU EN AS VU UN ? ✿ Dans mon salon, il essayait de bouffer l'un de mes caleçons Oo
QU'AS-TU FAIS ? ✿ J'étais en train de passer l'aspirateur, alors je lui ai donné un coup dans la tête, il a fini assommer et je l'ai balançai par la fenêtre.
AS-TU DÉJÀ TUÉ UN ZOMBIE ? ✿ Non non, je les regarde jouer au foot, un verre de bière à la main. Je dois juste m'enfuir à chaque fois qu'ils doivent faire une sortie, sinon tout va bien... Bien sûr que oui, j'en ai déjà tuer.
TU PRÉFÈRES CHASSER OU ESQUIVER LES ZOMBIES ? ✿ Disons que je suis plus du genre à me faire courir après par les filles que par les zombies, donc oui, je les chasse. Et puis qui c'est, si on les tue tous, on pourrait peut-être retrouver un monde normal ? ( a )
LES ZOMBIES, TU LES TROUVES COMMENT ? ✿ Tellement beaux que je les croquerais bien... Ou pas.
ILS TE FONT PEUR, OU PAS ? ✿ Non pas vraiment, le seul truc qui me ferait peur c'est de rater un tir destiner à les tuer. C'est honteux de devoir faire un deuxième essais.
SI MAINTENANT, UN ZOMBIE ARRIVE DEVANT TOI, QUE FAIS-TU ? ✿ Je lui tape sur la tête avec mon clavier. Pas bête hein ? ( a )
QUELLE EST TA MEILLEURE TECHNIQUE POUR TUER/CHASSER UN ZOMBIE ? ✿ Tu m'embêtes là. Va plutôt demander à Ella-Jones. Quoi que non, attends. Faudrait pas que je tire sur elle à la place de ce satané zombie. Oui oui, elle me sert d'appât.

behind the screen
TON P'TIT NOM ✿ On m'appelle Croco :face:
SEXE ✿ Aux dernières nouvelles, je suis une fille Oo
AVATAR ✿ Ian Somerhalder
PERSO INVENTÉ OU SCÉNARIO? ✿ Scénario de Ella-Jones R. Curtis
QUEL GROUPE POUR VOTRE PERSO ? ✿ Hulk On Zombie
OU AS-TU CONNU LE FORUM ? ✿ Sur PUB RPG Design (:
QU'EN PENSES-TU ? ✿ Il a l'air tout simplement magnifique, je sens que je vais passer du temps dessus ;P
T'ÉCOUTES QUOI ? ✿ U2 ♣️ Green Day ♣️ Indochine ♣️ Dionysos ♣️ etc..
DIS UN MOT QUI TE QUALIFIE LE MIEUX ✿ Folle ? :face: /mur/
LE SMILEY QUE TU KIFFE ✿ superman
QUELQUE CHOSE A DIRE ? ✿ C'est la première fois que je joue un scénario... Ça fait bizarre, mais c'était tellement tentant que... voilà, quoi x)


Dernière édition par Declan C. Oakley le Mer 26 Jan - 15:33, édité 2 fois
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 21:49


© iamdreaming

« … C’est pourquoi nous avons le plaisir de vous remettre la légion d’honneur. » Le jeune homme blond s’avançait en souriant. Ses dents d’un blanc presque parfait, reflétèrent le soleil lorsqu’il prit sur la table la boite en cuir contenant la récompense, entre ses mains. Le général se saisit du petit médaillon accroché au bout d’un ruban, et l’accrocha sur la veste d’un militaire brun, alors que celui-ci se trouvait au garde-à-vous. « Merci. C’est un honneur… » murmura-t-il lorsque le général se recula. On lui fit un léger signe de tête, et Declan descendit du podium pour retourner s’asseoir sur sa chaise, au premier rang. Il observa plusieurs remises de légion d’honneur, avant qu’un léger tapotement sur l’épaule ne vienne le déranger. Il se retourna vers l’un des caporales de sa session. « Oakley, dépêchez-vous, on a besoin de vous quelque part. » Le brun ne se fit pas prier. Il se leva rapidement et sortit discrètement de l’enceinte du lieu où avait lieu la cérémonie. Au dehors, il faisait presque noir, et seule la lumière des réverbères éclairait encore la ruelle. « Alors, quelle est ma mission ? » demanda Declan d’une voix forte. Le caporal lui fit un signe de la main, et le soldat le suivi. Ils étaient à présent arrivés devant une petite bâtisse aux murs de briques et à la porte en métal. Elle ne possédait pas de fenêtres. « Par ici. » Le caporal avait ouvert la porte de métal et laissait un espace assez grand pour que le soldat puisse passer. Declan s’engoufra dans la pièce, et lorsque la porte se referma derrière le caporal et lui, ils furent plonger dans le noir complet. On entendit un faible clic lorsque le caporal appuya sur l’interrupteur et les néons s’allumèrent dans un bruit de verre brisé. Un homme en blouse blanche était assis dans un coin de la pièce, les yeux fermés. Le caporal marcha vers lui et lui secoua légèrement l’épaule. Le scientifique se réveilla de suite et se remit à tripoter ses filtres à essais. Après un regard appuyé échangeait avec le caporal, Declan s’éclaircis bruyamment la gorge. L’homme en blouse blanche se retourna et regarda ses interlocuteurs avec un air gêné. Après un court instant, il se précipita vers Declan pour lui serrer la main. « Monsieur Oakley ! C’est un honneur ! » Le soldat prit un air embêter en serrant la main du scientifique. Comme les louanges de l’homme en blouse ne finissait pas, le caporal vint à la rescousse de Declan pour le débarrasser de ce pétrin. « Allez, venons en tout de suite aux faits. Oakley, vous vous imaginez bien que je ne vous ai pas fait venir ici pour rien ? » Declan hocha la tête en signe affirmatif. « Vous nous avez plutôt bien aiguillés récemment, et il est donc normal que nous vous demandions votre avis sur ce point. » Les joues du soldat rosirent un peu, tandis que le caporal et le scientifique se mirent à raconter une histoire abracadabrante. Ils prenaient la parole tour à tour pour exposer le fait qu’ils aient découvert récemment un nouveau virus qui aurait le pouvoir de zombifier les gens. Une certaine variante de la grippe qui risquait d’apparaître très rapidement. Le scientifique en avait découvert les divers atomes et avait testé le virus sur plusieurs rats. A la vue des rats zombifiaient, Declan eut un mouvement de recul ; ils étaient immondes. Se reprenant, il expliqua qu’il doutait fort que de toutes les variantes qui pouvaient ressortir de la grippe, ce soit celui là qui ressorte. Il expliqua que le pourcentage des chances que ce virus ressorte était très faible, et le scientifique confirma ses dires. « Vous voyez. Du moment que le virus de sort pas de ces murs, il ne devrait pas y avoir de problème. Après tout, pour l’instant il n’a été conçut que par l’homme et non pas par le virus lui-même. » Le caporal qui avait l’air tendu depuis le début, se détendit un peu. On voyait le soulagement sur son visage. Il avait peur de ce virus. « Eh bien, merci Oakley. Votre retraite est bien méritée. Au plaisir de vous revoir. » Declan salua le caporal d‘un mouvement de tête, puis il serra la main du scientifique, avant de se retourner vers la porte et de s’en aller.

(…)

« Je t’aime. Ne l’oublie jamais. » Declan déposa un baiser sur les lèvres de sa bien aimée, lui caressa la joue du bout des doigts, avant de s’éloigner. Lorsqu’il fut à la porte, il s’arrêta. Se retournant vers Calista, il ouvrit la bouche, hésitant à rajouter quelque chose. Il contemplait les cheveux bruns de la jeune femme qui retombaient en cascade de chaque côté de son visage ; il était amoureux de cette femme, il en était sûr. Après quelques instants d’hésitation, il rajouta simplement : « Je reviendrais demain. » Puis, il tourna les talons et sortit de la prison. Il n’en revenait toujours pas. La jeune femme avait mis le feu à une maison tandis qu’il était en train d’achever sa dernière mission. Il avait pris sa retraite en tant que militaire juste pour pouvoir passer plus de temps avec elle, et lorsqu’il était rentré chez lui, il ne l’avait pas trouvé. Elle était partie en prison. Declan soupira en retirant les clés de sa voiture de sa poche. Appuyant sur le bouton d’ouverture, la voiture devant lui émit un léger bip en s’ouvrant. L’homme ouvrit la portière côté conducteur, et se glissa derrière le volant. Entrant les clés de la voiture dans la fente prévue pour, il démarra le véhicule. Sur tout le trajet, il rumina. Il n’aimait pas être loin de sa femme, mais il ne pouvait pas rester indéfiniment cloîtré dans cette prison. Les gardiens n’appréciaient déjà pas beaucoup qu’il passe - presque - tous les jours, alors y rester jour et nuit ne leur plairaient pas de trop. Declan continuait sa route sur la voix rapide qu’il empreintait plusieurs fois par jour lorsque quelque chose - ou quelqu’un ? - vient lui titiller l’œil. Sur le bas côté, une - très - jeune fille faisait de l’auto-stop, et elle avait l’air mal en point. Le jeune homme se gara sur la bande d’arrêt d’urgence et vint à sa rencontre. « Ça ne va pas ? » La fillette semblait à peine avoir remarquer sa présence. De ses yeux roulaient d’innombrables larmes, et ses joues étaient trempés par ses pleurs. Lentement, elle releva la tête vers lui. « J’ai faim. Mes parents m’ont abandonnés sur l’autoroute avant-hier parce que je faisais un caprice. Ils ne sont pas venus me recherchés. » Declan observa la jeune fille. Ses vêtements étaient recouverts de boue ; son pantalon, déchirait au niveau des genoux, laissait voir de profondes plaies qui saignaient abondamment. Elle reniflait. Le jeune homme fouilla dans ses poches pour en sortir des mouchoirs, il en tendit un à la fille. Elle se moucha bruyamment. Il enleva sa veste et la passa sur les épaules de la jeune fille. « Viens. Tu dormiras chez moi cette nuit, ce sera certainement plus confortable que cette fausse dans laquelle tu as dut dormir. Et puis, demain nous irons au commissariat pour résoudre ce problème de parents. » La fille sauta dans ses bras pour l’enlacer. Elle pleurait de joie à présent. Declan se libéra de son étreinte pour lui ouvrir la portière côté passager, avant d’aller lui-même se glisser dans la voiture de l’autre côté.

(…)

La jeune fille dormait paisiblement dans le lit de Declan. Il avait dormi sur le canapé pour qu’elle puisse passer une nuit confortable. Elle n’avait pas arrêté de vomir de la nuit, et le jeune homme craignait fort pour sa santé. Ils avaient fait un saut à l’hôpital, et les médecins avaient déclarés qu’il n’y avait rien d’alarment, qu’elle avait juste une grippe - se mêlant à un début de gastro-entérite - qui passerait vite. Ils étaient donc retourner chez Declan, résolus à ne pas aller au commissariat tout de suite vu l’heure assez avancée de la nuit. Au petit matin, la fille était venue trouvée le brun sur le canapé. « Dis, je pourrais rester encore un peu ? Je n’ai pas envie de retrouver mes parents tout de suite, ils m’ont quand même abandonnés. » L’homme s’était redressé pour regarder la fille dans les yeux, un sourire s’étalant sur son visage. « Oui, bien sûr que tu peux rester. Mais il faudra quand même aller déposer une plainte au commissariat pour que tes parents soient punis, ils n’avaient pas le droit de t’abandonnais comme ça. » Declan se leva, et se dirigea ver la cuisine. Il sortit deux bols de l’un des tiroirs. Se retournant vers la jeune fille, il la regarda d’un regard enjôleur. « Alors Meredith, ça te dit de prendre un petit déjeuner ? Tu n’as pas beaucoup manger hier soir. » Le visage de la jeune fille s’éclaira. Elle avait tellement faim. « Oh oui ! » Ils se mirent tous les deux à table, vidant leurs bols de céréale à grands coups de cuillères. Au bout d’une demi-heure, Declan se leva tandis que Meredith se servait un deuxième bol de céréales. « Je vais un peu faire le ménage avant qu’on aille au commissariat, ça ne te dérange pas j’espère ? » La fille leva la tête de derrière la boîte de céréales. « Pas de problèmes. T’es chez toi ici, tu fais ce que tu veux. » Declan sortit de la pièce pour aller chercher son aspirateur. Il le mit en route et commença à aspirer les poussières de sa chambre. L’aspirateur faisait un tel que vacarme que le brun ne put entendre les cris de douleurs que poussait la fillette dans la cuisine. C’est en arrivant dans la cuisine qu’il remarqua que quelque chose clocher. D’habitude, la jeune fille n’osait bouger d’une pièce sans y avoir été inviter. Elle n’était plus dans la cuisine. Declan éteignit l’aspirateur, et se mit à chercher désespérément la jeune fille dans la maison. Il fit toutes les pièces, en terminant par le salon. Mais alors qu’il n’y croyait plus, il entendit un drôle de bruit provenir de derrière le canapé. Il contourna le meuble et regarda la fillette qui était accroupie là. Elle lui tournait le dos. Posant sa main sur sa tête, Declan se pencha sur elle. « Meredith ? Ça va ? » La jeune fille se retourna. L’homme eut un mouvement de recul lorsqu’il vit sa tête. On aurait dit qu’elle se décomposait, son visage était écorché de toute part. Elle tenait un slip déchiqueté dans sa bouche. Lorsqu’elle vit que Declan la regardait, elle se leva dans une allure mécanique et essaya de le mordre. L’homme se recula pour éviter la mâchoire essayait de la jeune fille. « Meredith ? Dis moi ce qui ne va pas. » Mais la jeune fille ne voulait rien entendre et elle essaya de s’attaquer à lui avec ses ongles. L’histoire du caporal et du scientifique revint en tête à Declan. « Ah non… Meredith ! » Il essaya de s’approcher d’elle pour l’enlacer et enfin pouvoir la consolée. Mais un coup de dents le manqua de peu, et il fut obliger de s’écarter. S’en était fini, elle n’existait plus, son âme était déjà ailleurs. Elle le fit reculer jusqu’à la cuisine, et là, il se souvint qu’il y avait laissé l’aspirateur. Prenant le manche entre ses mains, il se mit en position de défense. Et lorsque ‘Meredith’ essaya de lui donner un nouveau coup de dents, il lui donna un coup d’aspirateur dans la tête. Il avait taper fort pour une enfant, et le corps de la jeune fille s’écroula à terre dans un grand fracas. Declan s’approcha du corps et vérifia les fonctions vitales du corps de la jeune fille. Elle ne respirait plus, s’en était fini. « Eh merde. » Il se prit la tête entre ses mains, et ne sachant que faire, il se retourna et donna un bon coup de poing dans le mur pour évacuer la colère. Il n’en récolta rien. Il fallait qu’il se débarrasse du corps, et comme il n’était pas très inventif, il jeta simplement le corps de Meredith par la fenêtre. C’était le chaos au dehors.

(…)

« Allez, réponds… » La seule chose qui répondit à Declan fut le répondeur qui lui demandait de laisser un message. Par rage, le brun ouvrit la fenêtre de sa voiture, et envoya son portable valser en dehors de l’habitacle. Il appuya sur l’accélérateur comme il ne l’avait jamais fait auparavant, et la Jaguar fit un bond en avant. Le jeune homme voulait retrouver au plus vite ça bien aimer avant que tout ne dégénère. Et il mit seulement trente minutes pour faire la route jusqu’à la prison alors que d’habitude il mettait bien deux heures. Mais il n’y avait personne sur la route, et avec tous les chevaux qu’il avait sous le capot, il n’avait aucun mal à slalomer entre le peu de voitures qui se trouvaient sur sa route. En arrivant sur le parking de la prison, il ne prit pas la peine de se garer sur un emplacement, et laissa sa voiture garait au milieu du parking, la portière grande ouverte. Là aussi, c’était un beau carnage. De nombreux corps tapissaient le sol, et le tout formait un vrai lac de sang. Declan poussa la porte de la prison du pied, tandis qu’il tenait une grosse branche d’arbre dans ses mains pour parer une éventuelle attaque. Mais il n’y avait rien à l’intérieur du bâtiment. Rien, à part des corps - encore plus nombreux que sur le parking - qui jonchaient le sol de toutes parts. Le brun eut du mal à retenir un gémissement de dégoût lorsqu’il vit le corps de la gardienne - endormie à côté de ses organes qui baignaient dans une mare de sang - avec qui il avait si souvent parler. Mais il ne s’attarda pas la, et se dépêcha de rejoindre la cellule de Calista dont il connaissait l’emplacement par cœur. Il déboula en trombe dans le couloir, et se rua vers la cellule. Il se retint à ses barreaux pour éviter de faire un trop long dérapage lorsqu’il freinerait sa course. « C’est bon, je suis là maintenant. » murmura-t-il alors que des larmes de soulagement roulaient sur ses joues. Mais lorsque Declan releva la tête, il eut l’horreur de voir que la cellule était vide. Il tira sur la porte qui en condamnait d’habitude l’accès, et découvrit avec étonnement qu’elle s’ouvrit sans trop d’efforts. Le jeune homme écarquilla les yeux, et resta là, pendant quelques minutes, avec son regard étonné. Puis, il commença à s’énerver, et des larmes de rages commencèrent à couler sur ses joues. Il donna un coup de poing dans le mur qui se trouvait à côté de lui, et ne ressentit absolument aucune douleur au contact de la surface rugueuse. Il sécha ses larmes d’un revers de manche, et il se mit à courir vers la sortie.

(…)

Declan avait roulé de nombreuses heures sans s’arrêter. Dans toutes les villes dans lesquelles il était passé, la terreur régnait. Mais il n’en avait rien à faire, il avait juste une légère pointe de remords lorsqu’il pensait qu’il aurait put éviter que tout cela arrive, si il avait dit que l’affaire était un cas sérieux. Mais qui croirait à une histoire de zombies ? Au fond de lui, il avait la profonde impression que tout le monde aurait fait la même chose, et que de toute façon, il ne s’était passé que ce qui devait se passer. Il n’avait pas à s’en vouloir. Quand il fut à cours d’essence, il fut obliger de s’arrêter à une station. La première qu’il trouva fut à Phoenix. Il fit le plein sans avoir besoin de rentrer sa carte bancaire dans le distributeur, juste en donnant un bon coup de pieds dans la machine. Il se remit au volant de sa Jaguar, mais ne trouva pas le courage de redémarrer. Il avait des crampes partout, et il préférait rester poser encore un peu, vu le nombre important de bornes qu’il venait de se faire en un coup. Il erra donc plusieurs jours en ville, sans savoir trop quoi faire. Il fut souvent attaqué par les zombies, mais un jour particulier retint son intention. Declan tenait un batte de baseball dans ses mains, et l’abattit avec force sur la tête d’un zombie qui se tenait juste devant lui. La chose tomba au sol avec fracas, et le jeune brun resta là un long moment à la contempler. Autrefois, ce zombie avait été un humain. Declan fut frapper à la jambe d’un faible coup et il en laissa tomber sa batte de baseball par la surprise. Rapidement, il dégaina son pistolet tout en se retournant. Sans réfléchir, il agrippa ce qui était susceptible de l’avoir frapper, et pointa le bout de son pistolet sur sa tempe. Il tenait une jeune femme par le cou. Il contempla son visage, elle n’avait pas l’air écorché d’un zombie et elle avait l’air d’avoir l’esprit plus vif. « Tue-moi ! Maintenant ! Je t'en prie... » Le brun lâcha un grognement tout en relâchant la fille. Il n’aimait pas qu’on lui fasse perdre son temps. Il rangea son arme et plaqua la jeune femme contre un mur. Crispant sa mâchoire, il hésita à ajouter quelque chose. Sauf qu’il n’y avait rien à ajouter. Il la laissa là, contre le mur, et il s’éloigna vers sa voiture. Il avait plein de choses à faire, son temps était précieux. Le brun monta derrière le volant, et démarra. A peine eut-il fait son geste, que des zombies apparurent dans son rétroviseur ; ils allaient tout droit vers la jeune femme. Celle-ci se laissait glisser sur le sol, ses joues étaient recouvertes de larmes. Elle avait vraiment l’air désespérée. Declan soupira. On lui avait appris à secourir les gens, pas à les laisser mourir alors qu’il avait la capacité de les aider. Il fit un créneau rapide, et revint à la charge pour secourir la demoiselle. Il glissa la voiture entre les zombies et la jeune fille ; juste à temps. La femme se précipité d’ouvrir la portière et de se glisser dans l’habitacle de fer. Aussitôt qu’elle eut fermer la portière, le jeune homme appuya sur l’accélérateur.

(…)

Plusieurs jours passèrent, pendant lesquels aucun mots ne furent prononcés par l’un ou par l’autre. Le paysage défilait à toutes vitesses derrière les vitres, et ils ne s’arrêtaient que pour remettre de l’essence de temps à autre. La jeune fille brune ne faisait que pleurer et dormir, Declan avait le cœur gros de la voir ainsi, mais il ne préférait rien dire. Un jour, alors que la jeune fille se réveillait après quelques heures de sommeil, le brun tenta une approche. « Tu m'as toujours pas dit ton prénom... » tenta-t-il de lui faire remarquer, d’un ton quelque peu dégagé. Mais il eut vite l’impression qu’il gaspillait sa salive. La femme restait le regard rivé sur la fenêtre - ou du moins sur ce qui se trouvait derrière -, et ne disait pas un mot. Le brun cessa de la regarder et se remit à fixer la route qui s’étendait devant eux. « Pourquoi apprendre à se connaître ? On va tous finir par crever de toute façon... » Le jeune homme en avala sa salive de travers. Elle était tellement fataliste qu’un nœud se noua dans sa gorge. Lui aussi en avait gros sur la patate, et avait envie de se lâcher. Sauf qu’il ne pouvait pas, ne voulait pas. On lui avait toujours dit qu’il fallait prendre la situation de loin, et ne jamais s’impliquer dans ce qui se passait. Du moins, ne pas s’impliquer émotionnellement. Mais il avait quand même perdu une fiancé dans cette affaire. « Hey ! Arrêtes de dire de telles conneries. Toi, moi, on va s'en sortir, okay ? Je suis sûr que l'armée doit déjà essayer de trouver une solution. » répondit-il d’un ton légèrement irrité. Comment se faisait-il qu’elle arrivait à lui faire partager une telle détresse alors qu’il n’avait jamais subit autant de chagrin même lorsqu’il était seul, persuadé qu’il n’y avait plus que lui d’humain dans la ville ? « Comment tu peux savoir ça ? Tous les militaires sont peut-être déjà tous morts à ce moment-là. » répliqua-t-elle, en tournant enfin les yeux vers Declan. Lui aussi la regarda. Puis, il retourna son regard sur la route, prenant le temps de réfléchir. « Non, je pense pas. Ils ont une stratégie, pensent convenablement à la situation et aux possibilités. Ils vont nous sortir de là. » Le jeune homme jeta un bref regard vers l’inconnue, elle fronçait les sourcils.  « Comment tu peux en être aussi sûr ? » demanda-t-elle, d’un ton légérement suspicieux. Declan répondit du tac au tac. « Parce que je suis dans l'armée depuis mes dix-neuf ans. » La jeune femme parut s’étrangler. « Pardon ?! » Le brun en eut l’air assez vexé. Il cacha sa grimace - un léger froncement de nez. « C'est si étonnant que ça ? » demanda-t-il, un léger sourire aux lèvres. En général, les gens comprenaient assez vite qu’il était quelques parts dans les métiers d’ordres publics. Cette fille là était une sacrée exception. Elle parut sortir de ses pensées. « Beh... je sais pas... » Declan sentit son regard pesé sur lui. Il la regarda à son tour, et comprit assez vite son désappointement. « Je suis plus dans l'armée, j'ai été renvoyé chez moi après pas loin d'un an à la guerre... Je suis un militaire à la retraite... » Elle ne changea pas d’expression de visage pour autant. « Okay… » lui souffla-t-elle simplement. Mais le jeune homme remarqua bien vite qu’elle n’avait toujours pas répondu à sa question initiale. « Ton prénom ? » « Jones... Toi ? » « Declan. »

(…)

« Qu'est-ce que tu fous, BORDEL ? C'était quoi ça ?! » s’écria Jones. La voiture venait de percuter quelque chose qui venait de la faire trembler. « RELAXE ! C'était juste un zombie ! » soupira Declan. Elle l’agaçait quand elle était crispée ainsi. Elle n’avait rien vu, mais trouvait toujours le moyen d’être terrifiée. En fait, elle était quasiment tout le temps comme ça, dès qu’elle entendait le mot zombie ou en voyait un - de zombie -, ou simplement lorsqu’elle entendait le moindre bruit suspect. Donc presque tout le temps en fait. « Mais tu viens de le buter avec ta voiture, t'es malade ?! » paniqua-t-elle une dernière fois. Le brun fronça le nez ; c’était vrai, il avait peut-être abîmer le pare choc à cause de cette saloperie de mort-vivant. « Ce truc est déjà mort de toute façon ! » s’impatienta-t-il en haussant la voix. Comment pouvait-elle avoir de la peine pour ces choses là, alors qu’ils avaient failli la bouffer ? « Excuses-moi, mais « ce truc » bouge et semble respirer, ça ne semble pas si mort que ça ! » Declan haussa les épaules, passa sa main derrière le siège de Jones et regarda derrière pour commencer à faire une marche arrière. Arrivé à la hauteur du zombie qu’ils venaient de percuter, il s’arrêta brutalement. Il ouvrit sa portière, descendit et la referma derrière lui. Il fit le tour de la voiture, et arrivait à côté de la portière de la jeune femme, il ouvrit la porte et l’obligea à descendre en la tirant par le bras. Comme elle ne voulait visiblement pas, il détacha sa ceinture lui-même et la porta jusqu’en dehors de la voiture où il la laissa retomber sur ses jambes. Il la tira jusqu’au zombie présentement étalait sur le sol, et la poussa presque dessus. Jones fit un bond en arrière. « Tu veux qu'on en discute avec lui ? » La jeune femme avait pris un air terrorisé, et Declan avait l’air plutôt fier de lui. Lorsque le zombie se remit à bouger, elle ne trouva rien d’autre à faire que de laisser échapper un cri strident d’entre ses lèvres. Le brun eut du mal à ne pas devoir se boucher les oreilles, et pour mettre fin à la terreur de la fille, il ne trouva rien d’autre à faire que de tirer une balle entre les deux yeux du zombie qui s’écroula de nouveau à terre. Sauf que cette fois il était mort pour de bon. Jones resta là, bouche bée, à observer le cadavre de la chose. Declan avait envie de la prendre dans ses bras pour la serrée contre lui, mais il se fit violence et ne céda pas. « Nous sommes d’accord. » déclara-t-il d’un ton ferme. Il la reprit ensuite par le bras le plus doucement possible - en essayant de ne pas trop la brutalisée -, et la ramena auprès de la Jaguar qui attendait là, le moteur toujours en marche. Elle avait l’air tellement terrorisée que le jeune homme fut obligé de la rasseoir lui-même sur le siège et de lui attacher sa ceinture.

(…)

« Regarde ce que je viens de trouver ! » chantonna Declan en se rapprochant de la jeune femme. Cela faisait tellement longtemps qu’il vivait ensemble l’un et l’autre, qu’il avait l’impression que cela faisait une éternité qu’ils partageaient leurs vies. Elle était assise sur le sol, le dos appuyé contre la portière grise de la Jaguar. Elle semblait en pleine contemplation d’un champ de coquelicot, derrière lequel, le soleil préparait sa sortie d’une façon plutôt théâtrale. Elle tourna la tête vers lui, et sur son visage, un immense sourire ne tarda pas à apparaître. « Me dis pas que c'est une bouteille de vodka ?! » Elle se mit à rire. Cela mit un peu de baume au cœur du brun qui ne l’avait encore jamais vu rigolé. Lui aussi se mit à rire, mais plutôt d’un petit rire discret. Pourtant, son sourire qui s’étendait jusqu’à ses oreilles parlait pour lui. « Tout juste ! » Il était étrangement fier de sa trouvaille. Combien de temps cela faisait-il qu’ils n’avaient pas vu une bouteille d’alcool ? « Et on a aussi, un magnifique coucher de soleil pour occuper nos yeux ! » souffla-t-elle du bout des lèvres - comme ci elle avait peur de briser cet instant si magique si elle parlait trop fort -, en pointant l’horizon du doigt. Declan laissa un instant son regard errer sur ce magnifique spectacle, avant de venir s’installer près d’elle. « Génial ! » murmura-t-il. Lui non plus ne voulait pas briser cet instant si fragile. Il ouvrit la bouteille de vodka sans trop d’effort, en but une légère gorgée avant de passer la bouteille à son acolyte qui but elle aussi au goulot. L’alcool lui réchauffa tout le corps, comme pour lui donner une deuxième jeunesse. « … Tu crois qu'il va se passer quoi... ? Je veux dire, si tous les... zombies finissent par arrêter de … zombifier les gens et... » Le brun la regarda quelque secondes, perplexe, avant d’ajouter pour elle : Si ils sont tous crevés tu veux dire ? » termina-t-il à sa place. Il regretta tout de suite ses paroles, il était quelque peu brutal pour cette ambiance plutôt calme. Malgré tout, un léger sourire apparut sur le visage de Jones. « Oui... voilà. Tu crois qu'il se passera quoi ? » Il prit le temps de réfléchir, tout en regardant le paysage. Quand il sortit de ses pensées, il répondit très simplement : « Je sais pas... » Il récupéra la bouteille des mains de la brune et en but une nouvelle gorgée qui lui donna l’effet d’être plus revigorante que la précédente. « J'aimerais aller à Venise ! Et à Paris ! » lança Ella. L’homme sourit, on aurait dit une gamine déclarant à ses parents qu’elle voulait être princesse plus tard. « C'est vrai ? » Elle hocha la tête de haut en bas. Le sourire de Declan s’agrandit. « Ça a toujours été mon plus grand rêve ! Apprendre la cuisine italienne ! Faire ma lune de miel à Paris... » Elle laissa sa phrase en suspens, la coupant brutalement. Puis, elle reprit son air triste aussi facilement qu’elle l’avait perdu, cassant ainsi ce bref moment joyeux. « J'arrive toujours pas à croire que notre monde est devenu... leur monde... » Elle avait repris l’air triste qu’elle revêtait tous les jours. « Je suis sûr que tout va s'arranger ! Allez, viens là. » essaya-t-il de la rassurer en la serrant contre lui. Il n'aimait pas qu'elle soit triste et dans un élan de tendresse, il n'avait pas hésité à la prendre dans ses bras. Il espérait qu’elle noierait sa tristesse sur ses épaules, et qu’elle récupèrerait le magnifique sourire joyeux qu’elle portait quelques minutes auparavant. Elle ne se gênait pas pour en profiter en se laissant aller contre son torse. Et lui en profita pour poser sa tête contre la tête de Jones, dans un réel élan d’affection. Une seule chose le gênait en cet instant, le visage de Calista revêtant l’air sévère - qu’elle montrait souvent lorsqu’elle voyait Declan en compagnie d’une autre fille -, qui s’encrait dans son esprit. Il ferma les yeux. « Pourquoi tu fais ça pour moi ? » Il retira son menton du dessus de la tête de la jeune femme, et ils se regardèrent tous deux dans les yeux. « Parce que ça me tuerait de pas le faire. » Leur regard se prolongea. Un regard où ils se transmettaient tous ce qu’ils avaient à dire. Ils communiquaient simplement avec leurs yeux. Puis, comme ci tout ceci n’était qu’une évidence, ils rapprochèrent lentement leurs têtes tous les deux et ils finirent par échanger un long et doux baiser.

(…)

« Et sinon... » commença Jones sur le ton de la discussion. Le brun tourna légèrement la tête, un sourire narquois se dessinant sur son visage. « J'aime le silence ! Je ne fais que le signaler. » Il regarda du coin de l’œil la brune penchait sa tête sur le côté en plissant les yeux. L’air de légèrement critiquer son humour. « Et j'aime savoir avec qui je fais du chemin pour aller je-ne-sais-où. Alors... » déclara-t-elle d’une voix quelque peu irritée. « Aurais-tu des questions ? » demanda-t-il, une pointe de sarcasme dans la voix. « Je sais pas moi... tu as de la famille ? Quelqu'un dans ta vie ? Des animaux de compagnie ? Ta couleur préférée ? » dit-elle, l’air peu sûre. C’était évident qu’elle n’avait pas réfléchie aux questions qu’elle pourrait poser avant de parler. « Mes parents sont morts, mon frère a décidé de vivre deux ans dans la forêt amazonienne, mon autre frère est devenu un zombie, j'avais un cheval et un chat, je pense que ma fiancée est morte et puis... j'aime le noisette de tes yeux. » dit-il, l’air peu sûr de lui. Il se mordit la lèvre inférieur, il n’était pas sûr d’avoir dit ce qu’il fallait. L’image de Calista se fit encore un peu plus présente dans sa tête. Declan jeta un regard en coin à Jones, elle avait un sourire heureux. « Ta fiancée ? » Le brun déglutit. « Oui, elle... On peut parler d'autre chose ? » Il regarda la route, et se mit à penser à Calista et au fait qu’elle soit pyromane. Son emprisonnement. « Je ne sais pas où se trouve mon fiancé... Il était parti à une conférence à New York et puis... » Declan lui jeta un regard puis murmura : « Tu penses que.... ? » La jeune femme secoua la tête de droite à gauche puis de gauche à droite. « Je sais pas... Je n'y ai pas pensé... » Declan déglutit avant de répliquer : « Je ne cesse de me poser la question... » avoua-t-il difficilement. Il se referma aussitôt après, mais Jones voulut tout de même en savoir plus. « Elle... elle est où... au juste ? » Il fronça les sourcils et prit le temps de réfléchir un peu avant de répondre. « Quand j'ai quitté Phoenix... Disons que je n'en ai aucune idée... Je l'ai cru morte dès le premier jour. » Ella répliqua sans réfléchir. « Pourquoi ? » Declan se renfrognait et ne fit que répondre d’une voix distraite : « Tu devrais dormir. Demain, on a beaucoup à faire. »

(…)

« DECLAAAANNNNN ! » hurla la brunette en courant aussi vite qu'elle le pouvait. Un zombie lui courrait après et il semblait affamé comme pas possible. Elle avait beau courir à toute vitesse, elle perdait vite du terrain. Si elle ne se dépêchait pas un peu, le zombie allait la croquée vive. Mais Declan s’en rendit compte à temps, et en profita pour tirer une balle entre les deux yeux du zombie. Toutes ces années passées à l’armée l’avaient aidé à acquérir une certaine précision dans son tir qui lui servait beaucoup ces temps ci. S’approchant un peu plus du zombie, il lui tira une deuxième balle dans la tête pour s’assurer qu’il soit bien mort, puis rangea son pistolet. Il ne resta pas longtemps aux côtés du zombie, puisqu’il préféra se ruer auprès de Jones. Dès qu’il fut près d’elle, il ne perdit pas une seule seconde pour la prendre dans ses bras et la serrer contre lui. Il était tellement heureux qu’elle n’est rien et qu’elle ne le rejette pas ! Mais après ces quelques secondes de tendresse, il redevint le militaire qu’il avait été autrefois. « Quand vas-tu apprendre à butter des zombies ? » Jones bafouilla alors : « Je... euh... je... » Declan ne perdit pas une minute pour trancher d’une voix sec : « C'est bien ce que je pensais. » Cependant, même si il ne l’avouait pas, il adorait pouvoir protéger la jeune femme.

(…)

« C'est bon, y a personne. » assura Declan en rangeant son arme. Un simple signe de la tête lui vint de la part de Jones, puis la jeune femme observa la pièce des yeux. Ils étaient à New York et ils avaient décidé de s'installer dans une maison pendant quelques temps. Ils étaient là pour retrouver une personne qui était chère à Ella, mais aussi pour voir s'ils pouvaient rencontrer du monde. Du monde non zombifier, cela va sans dire. « On va rester là combien de temps ? » questionna la brune. Le jeune homme prit le temps de réfléchir avant de répondre. « Je ne sais pas pour l'instant. Tant qu'on pourrait y séjourner et manger, on y restera. » Il se mit tout de suite à s’activer. Il fallait ramener les valises à l’intérieur de la maison et garait la voiture à l’abris pour que personne ne la vole. La chose fut vite faite, et lorsque l’homme revint dans la maison, Jones ne perdit pas de temps pour l’intercepter. « Et après ? » Sans réfléchir, il tempêta. « Je ne sais PAS pour L'INSTANT ! » Il s’était emporté sans trop lui-même savoir pourquoi. « Tu es énervé ? » La colère du brun retomba un peu. Elle l’apaisait, et c’était une des qualités qu’il appréciait tant chez elle. « Désolé. C'est juste... laisse tomber, okay ? » En général, il n’était pas très jaloux. Enfin si en fait, il était totalement jaloux. Et le fait que Jones retrouverait son fiancé alors que lui-même n’avait toujours pas de nouvelles de Calista le mettait quelque peu sur les nerfs. Declan dut se forcer à retenir ses larmes pour ne pas éclater en sanglots. Il pensait à ce fameux fiancé qui en retrouvant sa bien aimée continuerait sa vie avec elle, alors que lui se retrouverait tout seul sans nouvelles de sa fiancée. Leur relation - à Jones et Declan - était tellement compliquée qu’il y avait de quoi s’arrachait les cheveux. Il y avait une touche de peur et de méfiance, parce qu'ils avaient peur de se perdre mais aussi parce que dans un monde où le mot d'ordre était survie, on ne savait pas à qui se fier. Mais il y avait aussi sûrement un part d'amour. Ils tenaient à l'un et à l'autre, peut-être un peu trop, mais le baiser, qu'ils avaient échangé, n'était pas anodin. Le jeune homme fit de son mieux pour détourner les yeux de la femme. « Tu veux que je te cuisine quelque chose ? » Il fut un peu surpris. « Tu sais cuisiner ? » Jones ne fut pas blesser de la stupéfaction du jeune homme, et elle se contenta de répondre avec un haussement d’épaules. « C'était mon métier ! » Il lui assura alors, un sourire au lèvres : « Eh bien, allons y alors ! »

(…)

Les deux jeunes gens courraient au milieu de Manhattan. Ils étaient tous les deux à la recherche du fiancé disparut de Jones. Declan portait les armes, près à tirer si le moindre zombie approchait. La brune, quand à elle, refusait toujours de porter sur elle la moindre chose de laquelle elle pourrait se servir pour faire du mal au zombie. Elle avait toujours en tête l’idée que tous ces monstres avaient d’abord été des humains comme lui et elle, et qu’une part d’humanité résidait encore en eux. Jones s’arrêta devant une grande porte en verre et elle faillit se prendre la porte de plein fouet tellement elle était emporté par son élan. Elle de crocheter la serrure de la porte, entra dans le bâtiment et fit entrer le brun à sa suite avant de refermer la porte derrière eux de manière à ce que les zombies ne puissent pas entrer à leur suite. Le manque de nourriture les affaiblissait, et leur fatigue était plus apparente de jours en jours. Ella se laissa tomber contre le mur, prise d’une apparente fatigue. L’homme quand à lui, restait debout, l’air un peu pressé. « Allez, c'est pas le moment de traîner ! » s'écria-t-il. Le regard de Declan passait à travers la vitre de la porte. Les zombies se jetaient à tour de rôle sur la porte comme ci ils voulaient l‘enfoncer pour pouvoir entrer. Il n‘avait plus qu‘à espérer que la porte ne cède pas sous leur poids. « Non, attends, j'en peux plus, j'ai besoin de me reposer ! » haleta-t-elle. « Tu dormiras ce soir, allez, debout ! » dit-il en tendant la main pour l'aider à se relever. Jones se saisit de celle-ci, et lorsqu’ils furent tout deux debout, ils grimpèrent les escaliers quatre à quatre. Lorsqu'ils furent arrivés au troisième étage, ils se collèrent tous deux contre un mur, se cachant de la menace qui se cachait dans le couloir. Declan les avait aperçu, ils étaient six, agglutinaient les uns sur les autres. Il fit signe à son acolyte de se taire. Elle fronça les sourcils, tandis que le brun lui faisait simplement signe de se taire parce qu‘il y avait des zombies dans le couloir. « Je comprends rien de ce que tu me racontes ! On est pas dans l'armée là ! » siffla alors Ella. Elle n’avait pas l’air d’humeur très perspicace. Alors, en s’appliquant à refaire les mêmes gestes, le jeune homme expliqua : « Cinq zombies, je pars dans le tas et tu me rejoints après ! Tu captes ? » Elle lui lança un espèce de regard noir. Declan en eut un sourire amusé. La brune passa un peu sa tête hors du mur pour regarder le couloir, puis elle fit signe à l’ex-militaire qu’il avait le champ libre. Ils avaient encore un tout petit peu de mal à se comprendre, mais ça commençait à venir. L‘avantage de tout ça, c'est qu'ils se couvraient toujours, quoi qu‘il arrive. Ils formaient duo de choc - en quelque sorte.

(…)

« JONES ! On part ! Dépêches-toi ! » hurla-t-il en dévalant l'escalier, qui se trouvait sur la droite dans la maison. Ses bras étaient chargés de leurs valises respectives. « Quoi, pourquoi ?! » s'écria la femme en se précipitant vers lui. D‘accord, ils n‘avaient pas encore trouvés le petit ami de la demoiselle, mais ils ne pouvaient pas s‘éterniser là. Et puis, plus les jours défilaient, plus Declan avait peur que ce ‘Wayne’ face irruption. Il se sentait tellement bien avec Jones qu’il ne voulait pas la quitter, surtout pas pour qu’elle aille avec un imbécile qu’il ne connaissait pas. Mais bien sûr, il était hors de question de lui dire la vrai raison. « Ça fait des mois qu'on squatte cette maison, des mois qu'on est à New York et rien, aucune trace de ton fiancé et ça grouille de plus en plus de zombies, on doit partir ! » ordonna-t-il, d‘une voix qui ne laissait pas place à la discussion. Sauf que, bien sûr, il y avait toujours des fous capables de faire ce que personne d’autre n’oserait. « Mais... » contesta Jones, l‘air de ne pas trouver ses mots. Ses yeux se remplirent vite de larmes. Cela serra le cœur de Declan qui voulait tout sauf lui faire du mal. Il se fit alors plus tendre, plus doux et posa ses deux mains sur le visage de la jeune femme, l'obligeant à le regarder dans les yeux, en tournant lentement son menton vers lui. « Écoutes, peut-être qu'il a quitté cette ville pour aller se réfugier quelque part en espérant te retrouver ! Mais le mieux serait de partir dans une autre ville, c'est trop dangereux ici. Allons... Je sais pas moi, à Los Angeles ? » Une larme, unique et solitaire, roula sur la joue de la jeune demoiselle et le brun en profita pour l'essuyer d'un petit mouvement de pouce, aussi doux qu‘une caresse. Il fallut un certain temps à la brune avant de comprendre ce qu’il lui avait dit. Elle s’exclama soudain : « Pour faire quoi ?! » Declan déglutit. « Le monde est rempli de zombies, je crois bien que... le temps n'est plus à savoir pourquoi. On doit juste agir. Et qui sait, peut-être que L.A. a été épargné par tout... ça. Okay ? » Jones ne fit qu'un simple mouvement de tête, un mouvement qui semblait - et qui était - incertain.

(…)

Cela faisait déjà pas mal de temps qu’ils roulaient sur une route déserte. De si de là se tenaient des voitures abîmées ou brûlées. Un long silence s’était frayait une place entre les deux acolytes, devenant à chaque seconde plus pesant. Tous deux avaient envie de parler, mais aucun des deux ne se lançait. Peut-être par peur de briser ce silence - aussi inconfortable soit-il. Au bout d’un certain temps, Jones tourna la tête vers la gauche et regarda longuement Declan. Elle avait l’air perdu dans ses pensées, certainement des pensées le concernant lui. Mais le jeune homme s’entêtait à ne pas la regardait, se bornant à fixer le chemin, donnant l‘impression qu‘il se concentrait plus sur sa conduite que sur le regard pesant de la jeune femme. « Tu fais la tête ? » finit-elle par demander d'une petite voix qu'il commençait à bien connaître à présent. Il soupira, puis il tenta un sourire vers elle, et répondit : « Non, pas du tout... » Il ne mentait pas, il ne faisait pas la tête. « Pourquoi tu es triste alors ? » insista-t-elle, pas prête d'abandonner son questionnaire tout de suite. Elle semblait consternée. Il ne répondit pas tout de suite, regardant toujours la route. Il avait l’air hésitant. Après quelques secondes de concentration, il demanda : « Tu crois qu'ils sont morts ? Vraiment morts ? » Elle eut l‘air de vite comprendre de qui le brun voulait parler. Elle sembla réfléchir quelques instants, avant de déclaré : « J'en sais rien... » Elle l‘avait dit ces quelques mots en un faible souffle, le regard à présent braqué sur ses pieds. Il lui fit un petit signe de tête qui se voulait réconfortant en direction de la jeune femme, avant de prolonger son regard sur son beau visage. Il y avait une telle tristesse dans ses yeux que le cœur de Declan se serra de nouveau. C’était une peine qu'il aurait aimé effacer, un sentiment qu'il aurait voulu lui prendre et la porter tout seul sur ses épaules. Il aimait pensé qu’il était le seul à pouvoir la protéger en cet instant, et qu’il serait le seul à pouvoir le faire durant en certain temps. Et cette idée lui plaisait, malgré tout ce qu'il s'empêchait de penser - à cause de Calista -, il aimait être le seul à la protéger. « ATTENTION ! » cria soudainement Jones. Elle venait de voir une voiture arrêter au milieu de la route, juste en face d’eux. Declan n’eut pas le temps de réagir qu’ils percutaient déjà l’habitacle de fer de l’autre voiture dans un choc plutôt violent. Si ils n’avaient pas partagés ainsi leur tristesse, cet accident ne serait jamais arrivé. La voiture n’aurait pas fait de tonneaux en plein milieu de la route. Et eux n’auraient pas eut à subir un si grand état de choc tandis que tout ce passait sans qu’ils ne puissent rien faire. Lorsque la voiture s'arrêta de tourner sur elle-même, les cris de terreur de Jones s'arrêtèrent, eux aussi. Comme si la fin de la rotation du véhicule avait eut pour effet d’appuyer sur le bouton off de leurs pauvres vies…


Dernière édition par Declan C. Oakley le Mer 2 Fév - 19:18, édité 17 fois
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 21:55

Voilà de quoi faire une heureuse sans compter que c'est un bon choix de scénario « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley 3762
Bienvenue & bon courage pour ta fiche love
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 21:57

    Merci, je commence à remplir ma fiche demain (:
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 22:20

IAN « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley 414143

Bienvenue sur le forum
& bon courage pour la rédaction de ta fiche :)
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 25 Jan - 23:27

Je crois que je suis amoureuse de toi ! danse
Le titre de ton sujet et tes gouts musicaux ! « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley 414143
Bref, BIENVENUE ! love
Et merci, merci, merci d'avoir pris mon scénario !
J'ai hâte de pouvoir RP avec toi, alors, bon courage avec ta fiche ! love 2 (a)
Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à me harceler par MP ! (:
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMer 26 Jan - 7:50

    Merci tout le monde (:

    Ella-jones > C'est des noms à rallonge ici nié? Merci à toi de l'avoir créer, sinon j'aurais certainement refait une fiche avec le même personnage que je prends tout le temps ( je pourrais peut-être en faire un scénario à la place ? ) (:

    Enfin bref, je commence tout ça en revenant de cours ( a )
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMer 26 Jan - 9:22

Bienvenue !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche cutee
Très bon choix de scénario en tout cas ! (:
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMer 26 Jan - 15:35

    Merci (:
    Voilà, j'ai répondu au questionnaire, je commence l'histoire ( a )
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyJeu 27 Jan - 22:44

Bienvenue parmi nous, sur ce forum de fouuuu aaaaaah
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyVen 28 Jan - 21:45

    Ah ah, j'aime le copier/coller du message de bienvenue dans toutes les présentations x)
    Merci :3
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptySam 29 Jan - 0:56

Bienvenue ♥
Un lien de la mort qui tue quand t'es validé c'est possible ? (a)
Bonne chance pour ta fiche :D
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptySam 29 Jan - 1:01

    Merci (:
    Avec la personne qui joue Kaya, un lien de la mort-qui-tue est toujours possible ( a )
    Bah en fait, la fiche est terminée... Mais sur papier. Maintenant il faut que je trouve le courage de tout recopier à l'ordi x)
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptySam 29 Jan - 1:03

    TROUVE LA FORCE *sors*
    J'adore ton vava :o , et puis Ian Somerhalder quoi.. *viens pas de regarde VD*
    Bon j'arrête de flooder moi :P danse
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptySam 29 Jan - 16:46

    Bon ben, j'ai eut la force de poster le début, maintenant j'ai une crampe x)
    Je finis dès que je peux (:
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyDim 30 Jan - 1:23

Declan C. Oakley a écrit:
    Ah ah, j'aime le copier/coller du message de bienvenue dans toutes les présentations x)
    Merci :3


héhé (a) (a) (a) (a)
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyLun 31 Jan - 21:32

    Est-ce que je pourrais avoir un délai jusqu'au week-end prochain pour finir ma fiche s'il vous plaît ? Il ne me reste plus grand chose à faire, mais en ce moment j'ai des semaines assez chargées :$
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 1 Fév - 13:20

Pas de problèmes, prends ton temps ;D
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyMar 1 Fév - 20:36

    Bon voilà, j'ai fini. Je suis pas fière de moi, la fin est bâclée, mais j'ai des RPs qui attendent depuis une semaine et comme d'habitude, je réponds dans la journée, je crois qu'il y a des gens qui vont me frapper :$
    Je suis vraiment désolée d'avoir mit une fin aussi pourrie, j'espère juste qu'on peut éditer les messages même quand les fiches sont validées parce que sinon c'est la merde sinon je t'embêterais Jones, parce que ça me fait souffrir de laisser une fiche aussi... vide. Mais j'ai peur qu'on me pique le personnage comme on l'a fait pour le scénario avec Kristen Stewart, et ça me rendrait triste :S
    Je suis désolée me tapez pas, vous avez le droit de me taper si vous voulez, je le mérite. Je suis trop nulle >.<

    EDIT ; en fait, vous avez plus le droit de me taper. pourquoi ça ? Parce que j'ai réussi à mieux finir ma fiche grâce à mon insomnie de la nuit dernière leche
    Donc voilà, fiche finie danse
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyJeu 3 Fév - 20:35

C'est dommage qu'il y ai tant de passages tirés de ma présentation, mais je vais pas faire ma chieuse, c'est déjà bien que tu as eu le courage de finir ta présentation ! xD
Bref tu es validé mon chou ! leche
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« Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Vide
MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyJeu 3 Fév - 20:58

    Ouais je sais, mais je me suis dit que c'était certainement les passages les plus importants, et dans la fiche du scénario, tu précises bien qu'il faut lire ta fiche, on peut pas me reprocher de ne pas l'avoir fait x)
    Et puis, j'ai repris que les dialogues, j'ai changé les phrases entre deux quand même (a) /SBAAF/ Ouais c'est bon, j'ai compris. Ma gueule. xD
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MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley EmptyJeu 3 Fév - 21:26

Oui, t'inquiètes pas, ça va quand même hein ! love
C'est juste que j'aime bien être l'admin méchante ! *ouuuuuuuuut*
Et puis, tu as quand même fait pas mal de lignes avant les passages qu'on a en commun, donc, bon, je peux quand même pas t'en blâmer ! cutee
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MessageSujet: Re: « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley   « Ce n'est pas parce que l'on a rien à dire, que l'on doit fermer sa gueule » • Declan C. Oakley Empty

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